La chanson « Goreflix » de la Wehrmacht plonge dans la fascination macabre pour la violence graphique et l'horreur. Les paroles dressent un tableau vivant de quelqu’un qui est accro au frisson viscéral de regarder des actes de violence brutaux. Les premières lignes, « Accro à l'horreur, j'aime voir le sang », donnent le ton à toute la chanson, soulignant l'obsession du protagoniste pour le sang et la mort. Cette dépendance n'est pas seulement un intérêt passif mais quelque chose qui les excite et les dynamise, comme l'indique la phrase « L'excitation coule dans mes veines ».
Cris MJ pense à toi paroles
Le refrain amplifie cette sombre fascination, énumérant diverses formes de violence telles que des meurtres, des coups de couteau et des massacres. Le protagoniste s’amuse de ces actes, reflet troublant de la désensibilisation de certaines personnes à la violence. La mention de « tueurs à gages payés pour tuer leurs victimes avec leurs armes » ajoute une couche de réalisme à la chanson, suggérant que cette fascination ne se limite pas aux représentations fictives mais s'étend également à la violence du monde réel.
Les images de la chanson sont graphiques et troublantes, avec des phrases comme « Têtes coupées ici, boyaux mâchés là » et « Les yeux scrutent l'écran avec ce regard ignoble et écoeurant ». Ces descriptions servent à souligner la nature grotesque de l'obsession du protagoniste. La chanson se termine par une acceptation effrayante de cette dépendance, en déclarant : 'Tant qu'il y aura de l'adisme, du raclage et du gore désordonné, je m'en fiche.' Cette dernière ligne souligne la profondeur du détachement du protagoniste des émotions humaines normales et son immersion totale dans un monde de violence et d'horreur.