4 février
Oh pays, nous n'oublierons jamais tout le temps
Les soi-disant héros du 4 février
Oh pays, nous saluons tes enfants en commun
Soi-disant tombé depuis 61
Oh pays, tes enfants sont déçus
Avec des personnes chargées de responsabilités étatiques
Ô patrie ! Vive la démocratie qui s'enfuit
Vive ceux qui vivent et survivent avec seulement 1 dollar par jour
Vivez les morts ordonnées en silence et seul
Du 27 mai à nos jours
Vive l’arrogance politique du parti au pouvoir
Qui s'enrichit illégalement et dit aux gens de se faire foutre
Vivez l'avenir sans un avenir au-delà de l'humiliation
Vive la réduction des salaires et les licenciements constants
Vive tous ces gens que je loue tant
Que par l'ironie de l'histoire, je les connais en tant que peuple
Là où règne la peur, la liberté ne prévaut pas
Là où il y a des secrets, la vérité devient pauvre
Là où est la haine, la violence fait son empire
Là où il y a des chagrins, tout est douleur, tout est désespoir
Fièrement, nous lutterons pour la paix contre le paludisme
Contre les forces progressistes du népotisme
Vive les masses incommensurables et déplorables
Dont les maisons, dont les maisons sont des quartiers sordides
Dont les salaires épouvantables disparaissent comme imaginaires
Ils passent des mains des entrepreneurs aux mains des utilisateurs
La démocratie doit guider la planification économique
Préserver au maximum la liberté de choix des citoyens
Étymologiquement, responsabilité
C'est le fardeau intrinsèque de l'autonomie et de la liberté
Le système est carnivore, le système a des schémas
N’investir en aucun cas, dans l’extrême pauvreté
La police et la politique sont une part du même gâteau
Patrouillez les communautés avec des philosophies de contrôle
Et leur pardonnerons-nous pour pouvoir chanter ?
Ou allons-nous les libérer pour pouvoir nous libérer nous-mêmes ?
Là où règne la peur, la liberté ne prévaut pas
Là où il y a des secrets, la vérité devient pauvre
Là où est la haine, la violence fait son empire
Là où il y a des chagrins, tout est douleur, tout est désespoir