Mauvais monde (Girls Band Cry)

La chanson « Wrong World (Girls Band Cry) » de TOGENASHI TOGEARI plonge dans les luttes et la résilience des individus vivant dans un monde apparemment immuable et en décomposition. Les paroles dressent un tableau saisissant d’une ville marquée par la corruption et le désespoir, où les voix des opprimés sont souvent réduites au silence. Malgré ce contexte sombre, la chanson véhicule un message d’espoir et de détermination, invitant les auditeurs à tendre la main et à prendre le contrôle de leur propre destin.

Le thème récurrent de « やり残した鼓動 » (battement de cœur inachevé) symbolise les désirs et les rêves persistants qui persistent même face à l'adversité. La chanson encourage à prendre ses propres mains, ce qui représente l'autonomie et le pouvoir d'effectuer des changements. L'imagerie d'une ville couverte de « 泥水 » (eau boueuse) et la froideur qu'elle apporte mettent en évidence les dures réalités de la vie, mais les paroles insistent sur le fait que le changement est possible si l'on ose le tendre et le saisir.



Le refrain reflète un sentiment de désillusion à l'égard du monde, le décrivant comme « 嘘みたいな 馬鹿みたいな » (comme un mensonge, comme un imbécile), mais il souligne également l'importance de percevoir et de toucher la réalité avec ses propres yeux et ses propres mains. Cette dualité capture l’essence de l’expérience humaine : reconnaître l’obscurité tout en s’efforçant de l’éclairer. Le message de la chanson est clair : même dans un monde qui semble irréparable, abandonner n’est pas une option. L'appel répété à « 手を伸ばして » (tendre la main) constitue un rappel puissant du potentiel de changement et de l'importance de la persévérance.

En fin de compte, « Wrong World (Girls Band Cry) » est une réflexion poignante sur la résilience de l’esprit humain. Il témoigne de la lutte universelle pour trouver de l’espoir et un sens dans un monde qui semble souvent écrasant et immuable. Grâce à ses paroles évocatrices et à ses images convaincantes, la chanson incite les auditeurs à continuer d’avancer, aussi intimidant que puisse paraître le voyage.